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Un mois que je n'ai pas publié, un mois marqué par des joies, des bonheurs, des échanges, des éclats de rire, des retrouvailles mais aussi par une grippe, une gastro, une infection urinaire et pour finir une vertèbre déplacée suite aux courbatures. Des hauts et des bas. Sauf que les ans passant, on met de plus en plus de temps à se remettre de ces petits accidents de parcours. Dur dur la fatigue, le temps passé à se trainer, à se soigner et surtout à ne pas se plaindre. Car quand tu vis seule, te plaindre ne fait que ty'enfoncer dans ta déprime. Tu ne peux compter que sur toi. Alors, tu te motives, tu te bouges, tu te gères comme disent les jeunes, et tu vas de l'avant, malgré la douleur, la tristesse et les cernes.

Les enfants ont fini par repartir, Oedipion a dû se débrouiller avec ses copains pour se rendre à l'aéroport car je n'étais pas en mesure de l'y accompagner, sympas les copains. Oedipe n'a pas pu reprendre la route en temps prévu : il me tenait compagnie dans la maladie.

J'ai par consequent échappé aux moments de convivialité obligatoire dans les organistions : la galette : moment d'hypocrisie collective que j'ai dû mal à affronter. Tous ces gens qui te sourient en pensant à la vacherie qu'ils viennent de te faire m'inclinent à me replier vite vite dans mon bureau....

J'ai partagé la galette avec les copains et les copines, là ce fut sincère et agréable.

Je n'ai pas pris de bonnes résolutions, mais je me suis promis de passer du temps avec ceux que j'aime. Je m'y tiendrai et je vous en souhaite autant

Puisqu'il n'est pas trop tard : je vous souhaite une très très bonne année.